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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 10:10

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 21:41

 

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Al-‘Aqiqa (le sacrifice) est une sunna, c’est un devoir du père, mais si le père est absent, cela reste une sunna à faire par la mère.

Il faut en être capable, car si les obligations ont pour condition préalable la capacité de les accomplir, cela est plus évident encore pour les choses recommandées.

C’est pourquoi nous ne disons pas au pauvre d’emprunter pour faire sacrifier.

Et dans le cas où un salarié à un enfant au milieu du mois et que son salaire n’est pas arrivé, lui disons-nous d’emprunter ou d’attendre ?

Il est meilleur qu’il attende, car il se peut qu’il lui arrive quelque chose et qu’il ait besoin de cet argent (maladie, accident…).

Il vaut lieux qu’il attende s’il compte recevoir de l’argent bientôt, et il peut sacrifier le 7, 14 ou 21ème jour.




[Shaikh Al-Albani précise que le sacrifice doit être fait le 7ème jour mais qu’il peut être repoussé au 14 et 21ème jour si on ne peut pas le faire avant, car le prophète a dit « on sacrifie le 7ème jour »et dans d’autres hadith sont cités le 14 et 21ème jour, donc le temps est spécifié et on ne peut dépasser cela que si on a

une excuse légale. (442, silsila al-huda wa nur)


La sunna est que l’on sacrifie deux moutons pour un garçon et un seul pour une fille, comme cela a été rapporté dans la sunna.

Il est préférable que les deux moutons soient le plus proches possible en âge, en taille, en poids, et plus ils seront proche, meilleur cela sera.

Et si on ne trouve (pour un garçon) qu’un seul mouton, cela est suffisant, mais si Allah a permis (à cet homme) d’avoir deux moutons, cela est meilleur.


[Sahikh Al-Albani précise qu’il n’y a pas de mal à sacrifier plus d’un mouton pour une fille, mais cela vient d’une ignorance des gens qui pensent que al-‘aqiqa est un repas auquel on invite les gens, ce qui est faux, il n’y a rien de cela dans la sunna, c’est un sacrifice]. (209, silsila al-huda wa nur

Il fait partie de la sunna que le sacrifice soit fait le 7ème jour, ainsi si l’enfant nait samedi, on sacrifiera vendredi, c'est-à-dire un jour avant le jour de sa naissance.

La sagesse derrière cela est qu’au septième jour, la semaine se termine, l’enfant a vécu tous les jours de la semaine et on espère qu’il continuera à vivre.



Question : si l’enfant meurt avant le 7ème jour, le sacrifice est-il toujours nécessaire ? Car le prophète a dit : « on sacrifie le 7èmejour » ?

Cet avis est à discuter car le prophète a choisi le 7ème jour car il comprend beaucoup de choses liées au chiffre 7, c’est pourquoi il faut sacrifier même si l’enfant meurt avant le 7èmejour.

Question : Faut-il que l’enfant sorte vivant (du ventre de sa mère) ou suffit-il que l’âme soit insufflée en lui (pour devoir faire le sacrifice) ?

Réponse : Certains savants ont dit que si l’âme avait été insufflée mais qu’il était mort-né, alors il n’y avait pas de sacrifice.

D’autres ont dit : au contraire, il faut sacrifier pour lui-même s’il est mort-né après que l’âme ait été insufflée.

Car si l’âme a été insufflée, il sera ressuscité, c’est donc un être humain dont on espère l’intercession au Jour de la Résurrection.

Au contraire de celui qui meurt avant que l’âme ne soit insufflée, pour celui-ci il n’y a pas de sacrifice, car ce n’est pas un être humain.

Ainsi, le fœtus n’est pas ressuscité au Jour de la Résurrection s’il meurt avant que l’âme ne soit insufflée, car il n’ pas d’âme qui pourrait lui être rendue au Jour de la Résurrection.

Donc il y a quatre cas :


- Il est mort-né avant que l’âme ne soit insufflée, on ne sacrifie pas

- Il naît mort-né après que l’âme ait été insufflée, il y a alors deux avis parmi les savants

- Il naît et meurt avant le 7ème jour, là aussi il y a deux avis parmi les savants, mais l’avis qui dit qu’il faut sacrifier est plus fort que celui dans le cas précédent

-
Il vit jusqu’au 7ème jour et meurt le 8ème, là il faut sacrifier pour lui. 

 

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 21:36

 

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On a interrogé shaikh Muhammad Nasir Din Al-Albani :

Question : Shaikh le hadith qui parle de l’adhan dans l’oreille du nouveau-né est faible, alors pouvons-nous l’utiliser ?

Réponse : Non

Question : Quel est votre conseil pour les frères qui ne savent peut être pas que vous avez déclaré le hadith faible.

Réponse : Mon conseil est un exposé pour les gens.

Nous disions auparavant qu’il était légiféré de faire l’adhan dans l’oreille du nouveau-né, tout en sachant que le hadith disant qu’il fait partie de la sunna de faire l’adhan dans l’oreille du nouveau-né est rapporté dans les Sunan de At-Tirmidhi avec une chaîne de transmission faible.

Mais, (comme il est connu dans la science du hadith) nous avons appuyé ce hadith par d’autres, et nous nous sommes appuyés sur le livre de l’imam Ibn Qayim Tuhfatulwadud fi ahkam al-mawlud. Ibn Qayim a renforcé le hadith en s’appuyant sur un livre del’imam Al-Bayhaqi : Shu’ab Al-Iman.

Etbien que le hadith soit faible, je pensais que sa faiblesse n’était pas très importante, et je me suis appuyé sur la transmission d’Abu Rafi ‘ pour renforcer le hadith.

A cette époque, je ne disposais pas du livre Shu’ab Al-Iman, ni publié ni en manuscrit.

Et bien que je sois dans la Maktaba Dhahirya qui contient des milliers de livres, celui-ci du Hafidh Al-Bayhaqi n’y était pas comme dans la plupart des bibliothèques du monde.

Mais aujourd’hui, Shu’ab Al-iman a pu être publié et il est très profitable car il contient beaucoup de hadith qui ne sont pas rapporté dans les « six livres » (Al-Bukhari, Muslim, Abu Dawud, At-Tirmidhi, Ibn Majah) ou ailleurs.

Parmi ceux-ci, le hadith sur lequel je m’appuyais d’après Ibn Qayim pour renforcer le hadith d’Abu Rafi’ rapporté dans Sunan At-Tirmidhi.

Mais, dans la chaîne de ce hadith que rapporte l’imam Al-Bayhaqi, il y a deux transmetteurs qui sont considérés comme menteurs.

Il m’est donc apparu que l’imam Ibn Qayim a été un peu complaisant en disant seulement que le hadith était faible.

Il aurait dû dire qu’il était très faible, et dans ce cas il n’est pas permis à celui qui s’intéresse à la science du hadith d’utiliser un hadith très faible pour appuyer un autre hadith faible.

C’est pourquoi, nous ne pouvons que revenir sur ce que nous avons dit de ce hadith dans Sunan At-Tirmidhi (faible mais il trouve un appuiailleurs), d’après le hadith rapporté dans Shu’ab Al-iman qui est très faible.


Ainsi le hadith d’Abu Rafi’ reste faible. Et puisqu’il ne nous est pas permis de mettre en pratique le hadith faible, nous sommes revenus sur ce que nous disions auparavant du caractère sunna ou légiféré de l’adhan dans l’oreille du nouveau-né.

 
(Il n’est donc pas légiféré de faire l’adhan dans l’oreille droite du nouveau-né, encore moins l’iqama dans l’oreille gauche qui est rapporté dans un hadith inventé (mawdhu’)).  

Shaikh Muhammad Ibn Salih Al-‘Uthaymin dit dans Sharh Al-Mumti’ (3/431-437)

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 20:18

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L’enfant qui grandit dans la joie, la bonne humeur, la complicité ne peut que s’épanouir.

Le Prophète (psbL) donnait des surnoms à des compagnons et il lui arrivait de taquiner les enfants, voici quelques hadith en ce sens :

Anas Ibn Malik (ra) raconte : »Le Messager d’Allah (psbL) nous rendait parfois visite.

Un jour, mon petit frère surnommé Abou Oumayr – je pense qu’il avait déjà été sevré – fut attristé par la perte de son rossignol (« noughar ») avec lequel il avait l’habitude de jouer.

Le Prophète (psbL) entra chez nous et le surprit dans cet état. Il dit : « Qu’est ce qu’il a ? »

On lui répondit : « Son rossignol est mort »

le Prophète (psbL) dit alors pour le taquiner (par la rime) : « Ô Abou ‘Oumayr, qu’a fait le petit rossignol (noughayl) ? »

(rapporté par Ahmed, Boukhary et Mouslim)

Anas (ra) raconte : « Oum Salim avait un enfant surnomé Abou ‘Oumayr, lequel possédait un rossignol.

Le Messager d’Allah (psbL) avait l’habitude de le faire rire » et dans une autre version « il avait l’habitude de lui dire des mots qu’il aimait entendre »

(rapporté par ‘Abd Ibn Hamid)

Anas Ibn Malik (ra) rapporte « Le Messager d’Allah m’a dit un jour : « Ô toi, longues oreilles ! » (rapporté par Ahmad, Abou Daoudn At-Tirmidhi hadith authentique) Abou Oussama a dit : « Le Prophète (psbL) a interpelé Anas (ra) de cette façon, non pour l’insulter mais par plaisanterie. »)

Al-Ghassânî : » Ne rendez pas mes fils tristes, car la joie fait grandir l’enfant »



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